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La guilde médecine est une autre grande garante du folklore et plus précisément des chants estudiantins.

La guilde organise des cantus; Sachez que tout bon cantus est composé de chants variés et entrainants ainsi que d’une consommation franche de bière. Il y a diverses règles et locutions latines qui régissent les cantus; la plus importante est “le chant prime sur la boisson”.

Ces cantus sont ouverts la majorité du temps aux non-baptisés, sauf occasion spéciale.

Pour de plus amples informations, visitez le groupe Facebook de la Guilde. Nous avons un recueil de chants dans la section Folklore, n’hésitez pas à le consulter.

Composition du bureau:

  • Chef de Service : Le Chef de Service dirige les cantus. Il désigne celui ou celle qui chante, il ordonne le silentium, le verbum, et le tempus. Il inflige aussi les punitions (comme le dentiste)
  • Ecorche-oreille : L’écorche-oreille entonne les chants
  • Inami : L’inami est le trésorier des cantus
  • Dentistes : Les dentistes font régner la discipline.
  • Infirmiers : Les infirmiers abreuvent les gosiers

Le silentium, verbum, et tempus

Le silentium est imposé quand le chef de Service le demande, pendant un temps de parole, pendant les chants.
Pour demander la parole: “Chef de Service, peto verbum?”. Le chef de service répond “habes” ou “non habes”. Dans ce dernier cas, le demandeur n’a plus qu’à se taire, sinon il se lève, se découvre, et commence son élocution par “ergo habeo”. Il termine son blabla par “dixi” et se rassied.
Le tempus pissendum est annoncé par le Chef de Service par la formule “Opto ut tempus secundem multisaeculare traditionem vel pissandi sit”, ce à quoi la salle de garde répond: “Optamus”

Chanter et boire

Un chant est entonné par l’Ecorche-Oreille ou par un membre de la salle de garde après que le Chef de Service lui ai dit: “ad catandum verbum habes”. Il terminera la chanson par la locution “cantus est”.
On ne boit jamais seul, on trinque d’abord (discretement pour ne pas perturber le bon déroulement du cantus) avec un autre membre de la salle de garde.
On ne parle ni ne fume pendant les chants. Pour rappel, on vient à un cantus pour chanter et puis boire, et non pas l’inverse.
A force de boire, il arrive que la vessie soit pleine avant un éventuel tempus. Le pressé doit alors demander la parole au Chef de Service et lui formuler son envie urgente avec un quatrain (4 phrases qui riment)

Les récompenses et pénitences:

Peuvent être infligés par le Chef de Service ou le Dentiste.
Le puni doit réciter la formule de pénitence: “Paenitet me pecasse sive pecavisse“, et afoner celon ce que lui a indiqué le CDS ou le Dentiste (Ad fundum, ad diagonalem, 1 ou plusieurs doigts représentant la hauteur du verre de bière à afoner.
La formule de récompense est: “Gaudeo quod non pecavi, et illum poculum mervi
L’appel “ad pistum” se passe dans le cas où l’on doit expliquer son retard. On se découvre, on excuse son retard auprès du bureau et de la salle de garde, et on fait un ad-fundum artistique. Si il s’agit d’un membre illustre de la guindaille qui arrive en retard, la salle de garde entamera le “Io vivat” en son honneur.

Les différents grades:

  • Interne: Lorsque l’on désire rentrer dans la guilde, on attribue au postulant un parrain ou une marraine chargé de lui apprendre ses chants en vue de son passage de grade.
  • PG: Membre effectif de la guilde. Pour y accéder, il faut avoir participé au moins à 5 cantus (cantus extérieurs compris), être dans sa deuxième année de guindaille, et avoir réussi le passage de grade. CF liste des chants.
  • Résident: Membre de la guilde pouvant accéder au bureau et portant le band aux couleurs de la Guilde Médecine. Pour y accéder, il faut avoir participé à 10 cantus dont au moins deux à l’extérieur, avoir présenté soit une guindaille de son cru soit deux trouvailles (chants déja existants et n’ayant jamais été chanté en guilde), et avoir réussi le deuxième passage de grade.
  • Anapaths: Ce sont d’anciens membres du bureau, présents pour seconder le bureau du moment dans sa lourde tâche.
  • Docteur honoris causa: Ce sont des ancètres de la guindaille, n’ayant jamais réellement présenté leur grade mais on aurait honte d’essayer de leur faire passer vu leur grandiose histoire au sein de la guindaille.
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